1922 |
En marge du IV°Congrès de l'Internationale Communiste, son Exécutif tient une séance consacrée à la crise du P.C. français qui faisait alors rage. |
Œuvres - juin 1922
Résolutions et messages de l’Éxécutif de l’I.C. de juin 1922 L'objet principal du prochain congrès du parti doit
être d'adopter un programme, une tactique et un règlement intérieur répondant
parfaitement au rôle du parti dans l'époque actuelle de préparation à la
révolution mondiale. Il faut immédiatement procéder à l'élaboration de projets
correspondants et à leur publication dans les organes non seulement du parti
français, mais encore de toute l'Internationale, afin que la pensée et
l'expérience de tous les partis communistes et du comité exécutif puissent être
employées à l'examen et à l'élaboration des documents fondamentaux destinés à
assurer le maximum de cohésion et de valeur combative au parti de la classe
ouvrière française. La constitution d'un
comité directeur homogène, capable d'assurer la conduite du parti conformément
aux décisions des congrès internationaux et nationaux, doit dès aujourd'hui
faire l'objet d'une soigneuse préparation et être ensuite réalisée au prochain
congrès du parti. Il faut reconnaître
l'absolue nécessité que plus de la moitié des membres du comité directeur
soient des ouvriers ayant conservé une liaison effective avec les masses. Tous les membres du
comité directeur doivent se consacrer au travail du parti, au travail syndical,
ou être des travailleurs liés par leur métier à la vie de la masse ouvrière. Choisir des
candidats répondant à ces conditions, examiner leur passé et leur fermeté
politiques, enfin mettre d'une façon ou de l'autre les fédérations en état de
les connaître, voilà la partie essentielle du travail préparatoire qui incombe
naturellement à tous les membres du comité directeur actuel acceptant
intégralement les résolutions de l'Internationale Communiste et décidés à
assurer leur mise en pratique par l'organisation. Dans un comité directeur
ainsi composé, la majorité des membres réaliseront la liaison du comité avec
les fédérations locales, les syndicats, la presse, etc. En même temps doit être
désigné au sein du comité directeur un bureau politique permanent résidant à
Paris, concentrant entre ses mains toute la conduite de l'action du parti,
préparant toutes les données nécessaires pour permettre au comité directeur
dans son ensemble de prendre les décisions les plus importantes et veillant à
la mise en pratique de ces décisions par l'intermédiaire du secrétariat général
du comité directeur. Le comité directeur doit
avoir le droit de mettre hors du parti tels ou tels membres ou groupes toutes
les fois que la chose sera rendue nécessaire par des considérations d'ordre politique. Dans les cas réclamant
une enquête détaillée sur une violation de la discipline ou sur d'autres délits
ou crimes contre les intérêts du parti, le comité directeur pourra remettre la
question à l'examen de la commission des conflits. Mais toutes les fois que
tous les facteurs politiques de la question ne soulèveront aucun doute et que
l'exclusion sera exigée par les intérêts élémentaires du parti, le comité
directeur prendra lui-même la décision d'exclusion. Il ne pourra être fait
appel de cette décision que devant les congrès du parti. La fédération de la
Seine a une importance exceptionnelle dans les destinées du communisme français
et, par suite, du communisme international. Partant de cette constatation,
l'Internationale estime nécessaire d'inviter les communistes de cette
fédération, de même que ceux de tout le parti français, à modifier radicalement
les bases d'organisation actuelles de la fédération de la Seine. Le principe du
fédéralisme est absolument incompatible avec les intérêts réels d'une
organisation révolutionnaire. Toute référence à la constitution fédérative de
la République soviétiste est radicalement erronée, étant donné que la structure
du parti communiste ne peut en aucun cas être identifiée à la structure de
l'Etat soviétiste. Le parti communiste, dans toutes les républiques fédérées
est un et strictement centralisé. Les communistes d'Ukraine, de Georgie,
d'Azerbaïdjan, etc. sont liés aux communistes de Moscou, de Petrograd, etc. non
point par les liens du fédéralisme, mais par le plus sévère centralisme
démocratique. Seule l'unité de cette organisation centraliste de la classe
ouvrière de Russie lui a permis de défendre victorieusement son existence
contre d'innombrables ennemis. L'Internationale condamne de la façon la plus
catégorique l'application des principes du fédéralisme et de l'autonomisme dans
un parti révolutionnaire qui doit être le levier puissant de l'action
révolutionnaire. Mettre à la tête d'une
organisation un comité d'une centaine de membres, ce serait la priver en fait
de toute direction ferme et conséquente. En conformité avec les
principes régissant la structure de l'Internationale Communiste, il doit y
avoir à la tête de la fédération de la Seine un comité composé d'un petit
nombre de membres, élus sur la base du centralisme démocratique et absolument
responsables de la conduite politique et de l'organisation intérieure de la
fédération. En même temps, étant
donné l'importance exceptionnelle indiquée plus haut de la fédération de la Seine,
il doit être reconnu comme absolument indispensable que deux ou trois membres
du comité directeur soient également membres du comité de la Seine (soit par
élection, au comité directeur, de militants de la Seine, soit par introduction
dans le comité de la Seine de membres du comité directeur en vertu d'une
décision spéciale de ce dernier). Ainsi sera assurée la liaison nécessaire
entre le centre dirigeant du parti et sa principale fédération. L'Internationale
constate le danger immense causé au mouvement ouvrier et en particulier au
mouvement syndical français par les éléments petits-bourgeois, individualistes
hostiles à l'esprit de la discipline prolétarienne et habiles à éviter tout
contrôle des organisations sur leur activité personnelle. En la personne des
Verdier, Quinton et autres, nous voyons des hommes qui se couvrent de phrases
sur l'autonomie syndicale pour organiser de petites coteries à l'intérieur des
syndicats, et pour essayer de mettre la main sur la direction du mouvement,
sans donner à la classe ouvrière aucune garantie organique non seulement de
direction juste, mais même de simple fidélité aux intérêts du prolétariat. Les
agissements de ces individualistes petits-bourgeois sont d'autant plus
dangereux que, comme Verdier, Quinton et autres, ils pénètrent jusque dans les
rangs de notre parti et, se couvrant de son autorité sans se soumettre à son
contrôle, mènent une action profondément démoralisante, opposant les syndicats
au parti et empoisonnant leurs relations mutuelles. Exploitant pour leurs
buts propres l'hospitalité du parti, ces éléments sont prêts ensuite à quitter
ses rangs, puis bien un régime de suite dans les idées' de discipline et de
responsabilité, c'est-à-dire le régime du parti, est intolérable à
l'esprit de ces braconniers du mouvement ouvrier. L'Internationale estime
qu'il est du devoir absolu de tous les éléments conscients et d'avant-garde de
la classe ouvrière et, avant tout, des organes dirigeants du parti communiste,
de combattre sans pitié ce phénomène et ses fauteurs. Le parti communiste doit
être intégralement et complètement débarrassé des frères spirituels de Verdier
et de Quinton, s'il en reste encore dans ses rangs. C'est pourquoi, dès le
congrès de Saint-Etienne [1],
la fraction communiste et son bureau doivent contribuer à découvrir et à
démasquer les pseudo-communistes qui considèrent le parti et les
syndicats comme un champ libre offert à des coteries irresponsables. Ces pseudo-communistes
doivent être impitoyablement chassés de nos rangs, afin qu'à l'avenir ils ne
puissent plus causer à la classe ouvrière le dommage incalculable qu'ils lui
ont causé dans le passé et qu'ils lui causent encore dans le présent. Etant donné qu'il y a
dans les syndicats demeurés affiliés à la C.G.T. des communistes membres du
parti, le parti a le devoir absolu de conserver avec ces camarades la liaison
organique normale. Les communistes dans les
syndicats réformistes doivent organiser des noyaux communistes fonctionnant
régulièrement et en liaison étroite avec les organes correspondants du parti. Quel que soit le
développement des relations entre la C.G.T. et la C.G.T.U., laquelle est et
sera soutenue par le parti dans sa lutte contre les réformistes, les
communistes doivent orienter leur action vers la conquête par l'intérieur de
tous les organes de la C.G.T. L'Internationale
constate que la presse et les organes dirigeants du parti communiste français
ont informé le parti de façon complètement inexacte sur le sens et la
signification de la tactique du Front Unique. L'Internationale repousse
simplement les jugements superficiels de journalistes qui veulent voir une
renaissance du réformisme là où il n'y a qu'un approfondissement des méthodes
de lutte contre ce réformisme. Représenter la
commission des Neuf [2] comme un
organe dirigeant supérieur aux trois Internationales, c'est ne rien comprendre
à l'esprit et au caractère de l'Internationale Communiste. C'est confondre l'Internationale
Communiste avec les organisations purement parlementaires et réformistes dans
lesquelles les délégués et les représentants se placent au-dessus de la
masse ouvrière organisée et lui dictent leur volonté. Etant donné le caractère
de l'Internationale Communiste et l'esprit de la discipline prolétarienne, les
trois délégués envoyés à la commission des Neuf n'étaient que des exécutants
temporaires pour un but défini et sous le contrôle absolu de l'Internationale
Communiste. La page la plus
glorieuse de l'histoire du prolétariat français, la Commune de Paris, n'a été
autre chose qu'un bloc de toutes les organisations et tendances de la classe
ouvrière groupées contre la bourgeoisie. Si, malgré la réalisation de ce front
unique, la Commune a été rapidement écrasée, c'est avant tout parce qu'il ne se
trouvait pas à l'aile gauche de ce front une organisation véritablement
révolutionnaire, disciplinée et décidée, capable dans le feu des événements
d'en prendre rapidement la direction. C'est en ce sens que la
Commune a été un gouvernement ouvrier, un bloc des partis et groupements
ouvriers opposés à la bourgeoisie. En qualité de gouvernement ouvrier, la
Commune a été une étape vers l'établissement du régime socialiste. Il suffira
au prolétariat conscient de France de pénétrer l'exemple de la Commune pour
trouver dans son passé héroïque tous les arguments nécessaires en faveur de la
tactique véritablement révolutionnaire du Front Unique, avec la revendication
d'un gouvernement ouvrier qui en découle. L'idée du Bloc des gauches, dans les conditions
actuelles, peut séduire un grand nombre d'ouvriers politiquement peu
expérimentés. Le parti communiste français doit considérer cette perspective
comme un très sérieux danger. Dans toute sa propagande quotidienne, il doit
systématiquement opposer à l'idée du Bloc des gauches l'idée du bloc de tous
les ouvriers contre la bourgeoisie. Il va de soi qu'au moment des élections le
parti doit partout se présenter avec des listes communistes indépendantes.
Telle est la seule tactique capable, si elle est appliquée avec esprit de suite
dans tous les domaines (économique, politique, etc.), de réduire au minimum le
nombre des ouvriers entraînés dans le cercle d'influence du Bloc des gauches et
d'étendre l'influence du parti sur les milieux ouvriers non encore touchés par
lui. Pour élever le niveau
politique et doctrinal de la masse des membres du parti, il est absolument
indispensable que la presse dirigeante du parti rompe définitivement avec les
mœurs et coutumes du journalisme bourgeois et mette ses colonnes à la
disposition non pas de tels ou tels journalistes développant leurs tendances
personnelles, mais du parti lui-même, exprimant systématiquement sa
pensée et sa volonté, par la plume de ses journalistes. Pour cela, il faut que
des articles quotidiens, en dehors des éditoriaux actuels, éclairant du point
de vue strict des principes les événements de la vie économique et politique
intérieure ou internationale, paraissent sans signature, non pas comme
l'opinion de tel ou tel individu, mais comme la voix même du parti. Le comité
directeur doit, par ses organes compétents, exercer un contrôle et une
inspection permanente de la presse, lui donnant des missions déterminées
découlant des conjonctures politiques, assurant par-là une concordance
complète entre l'action de la presse et la sienne propre, soit à l'intérieur du
parti, soit dans toute la lutte politique. En aucun cas ne peuvent ni ne
doivent être publiés comme éditoriaux, même avec la signature de leur auteur,
des articles critiquant les décisions déjà prises et exécutoires de l'Internationale
Communiste ou du parti français. Si la publication d'articles de ce genre était
jugée utile par les organes dirigeants du parti pour éclairer définitivement
quelque question, ils ne pourraient en tout cas être imprimés qu'à titre
d'articles de discussion avec une note précise de la rédaction indiquant la
décision déjà prise par le parti, et avec des articles de dirigeants défendant
énergiquement cette décision. L'Internationale
constate dans le parti français, outre d'autres symptômes de crise, la
renaissance des fractions. L'extrême droite du
parti, dont le point de concentration était le Journal du peuple, a pris
dans le parti et dans sa presse une importance absolument hors de proportion
avec sa valeur doctrinale et politique. L'absence de mesures décisives de la
part du comité directeur contre cette droite a conduit fatalement à des essais
de renaissance de la fraction de gauche. La lutte entre ces deux fractions devait
inévitablement saper la valeur combative du parti, et peut être à l'avenir un
danger pour son unité. L'Internationale exprime
sa profonde conviction que, seules, une cohésion parfaite de l'écrasante
majorité du parti contre son infime aile droite et une énergique exécution de
toutes les décisions prises par la présente conférence enlèveront tout terrain
aux groupements fractionnels. En même temps,
l'Internationale invite énergiquement l'aile gauche, tout en continuant à
défendre les principes du communisme révolutionnaire, à ne jamais se constituer
en fraction séparée, mais à exercer son action dans le cadre des institutions
et des organisations communes du parti et à collaborer activement avec le noyau
central du parti dans tout le travail pratique, en particulier dans la lutte
contre les déformations réformistes, pacifistes et anarcho-syndicalistes. Le camarade Daniel Renoult, membre du comité
directeur et directeur du journal du soir L'Internationale, a pris une
part très active aux travaux de la session de février de l'Exécutif élargi.
Dans toutes les questions, sauf celle du Front Unique, l'Exécutif avait obtenu
un accord parfait avec tous les membres de la délégation française, y compris
le camarade Renoult. Dans la question
du Front Unique, le camarade Renoult, qui était rapporteur et qui vota ensuite,
avec la majorité de la délégation française, contre la tactique du Front Unique,
déclara cependant de la façon la plus catégorique et la plus solennelle que les
communistes français, en soldats fidèles de la Révolution, se soumettraient
sans réserves à la résolution prise après ample et loyale discussion. Les engagements acceptés
par la délégation du comité directeur sont demeurés non exécutés, dans leurs
parties les plus essentielles, par suite du peu d'activité et de décision que
le comité directeur a mis à les appliquer. Cependant, la conférence voit la
cause principale de la non-exécution des décisions prises et de la
tension des relations entre l'Internationale et sa section française dans la
conduite du journal L'Internationale et de son directeur. En complète
contradiction avec les engagements pris et avec sa promesse solennelle, le
camarade Daniel Renoult, au lieu d'expliquer les décisions et de demander leur
exécution unanime, a entrepris une campagne acharnée contre la tactique du Front
Unique et contre la politique de l'Internationale Communiste en général. Non
content de cette polémique de presse, le camarade Daniel Renoult, prenant la
parole dans des assemblées aussi influentes que le congrès de la fédération de
la Seine, a invité à voter démonstrativement contre la politique du Front
Unique. Constatant que le
camarade Daniel Renoult a violé manifestement ses devoirs de membre de l'Internationale
Communiste et a foulé aux pieds les engagements acceptés et solennellement
proclamés par lui-même, la conférence prononce un blâme contre le camarade
Daniel Renoult, comme délégué du parti français à Moscou et comme directeur de L'Internationale. En même temps,
l'Internationale invite le comité directeur et son secrétaire général à prendre
toutes mesures pour que, dans les mois restants jusqu'au congrès du parti, le
journal L'Internationale devienne un instrument servant à la mise en
pratique effective des décisions de l'Internationale Communiste. L'exclusion de Fabre et
de son journal est une étape de la lutte contre cet esprit de bohème
intellectuelle anarcho-journalistique qui, particulièrement en France, prend
successivement toutes les formes, toutes les couleurs de l'anarchisme et de
l'opportunisme, et finit inévitablement par un coup de couteau dans le dos de
la classe ouvrière. De cette officine sont sortis les Briand, les Hervé et des
centaines d'autres. L'Internationale compte fermement que le comité directeur
et la presse du parti expliqueront aux masses ouvrières la signification
politique de l'exclusion de Fabre. A cette condition seulement, la mesure prise
sera une sentence de mort pour le fabrisme du parti et assurera à l'opinion
communiste l'élasticité révolutionnaire nécessaire pour que les chercheurs
d'aventures du journalisme soient toujours automatiquement et sans difficultés
éliminés du parti. La préparation du
prochain congrès du parti doit être une campagne pour la consolidation
doctrinale et organique du parti français, contre toutes les tendances du
pacifisme petit-bourgeois, de l'anarcho-syndicalisme, du révolutionnarisme de
paroles, contre les théories subordonnant l'action du prolétariat à la volonté
ou à la maturité de la classe paysanne et falsifiant par-là même le caractère
de classe du parti, etc. Etant donné que ces diverses tendances ont déjà
apporté un trouble extrême dans la conscience du parti, la presse communiste
doit faire la clarté sur toutes les questions en rappelant à la mémoire de ses
membres les résolutions correspondantes de l'Internationale Communiste, en
particulier des vingt et une conditions d'adhésion à l'Internationale. Toutes
les décisions doivent être éclairées par l'expérience de l'année dernière ou
illustrées par les exemples des manifestations littéraires et politiques
manifestement incompatibles avec ces résolutions que se sont permises plusieurs
militants responsables. La date du congrès devra
être fixée d'un commun accord entre le comité directeur et l'Exécutif. Etant donné la nécessité
d'une modification radicale dans la politique intérieure du parti français,
résultat qui ne peut être obtenu qu'avec la collaboration consciente de
l'énorme majorité de ses membres, l'Internationale estime désirable que le
comité directeur adresse à tout le parti un manifeste solennel dans lequel il
exposera la nature des décisions prises par la présente conférence pour ouvrir
une ère nouvelle dans la vie du parti communiste français
[3]. Notes [1]
Le congrès constitutif de la C.G.T.U. devait se
tenir à Saint-Etienne du 26 juin au 1° juillet 1922. [2]
La commission des Neuf avait été désignée à la
fin de la conférence des trois Internationales à Berlin en avril 1922 ; elle avait
pour tâche la préparation d'une deuxième conférence et de l'action commune
envisagée. Elle comprenait F. Adler, Bracke et Crispien, pour l'“ Internationale
II et demie ”, MacDonald, Wels et Vandervelde pour la II°, Karl Radek, Clara
Zetkin et Frossard pour la III°. La commission des Neuf fut éphémère. [3]
Cette résolution, avec d'autres, fut adoptée le
11 juin. Frossard et Cachin, présents, s'étaient déclarés d'accord.Structure du parti. Le
comité directeur.
Discipline.
La fédération de la Seine.
Question syndicale.
Le Front Unique.
Le régime de la
presse.
La question des fractions.
L'internationale et son directeur, le camarade Daniel Renoult.
L'affaire Fabre.
Le prochain congrès du parti.
Manifeste du comité directeur.
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