1844 |
Marx et Engels rompent avec l'hégélianisme.... |
La sainte famille
La correspondance de la Critique critique
La Critique n'a pas réussi à se représenter comme le contraire essentiel et, du même coup, comme l'objet essentiel de l'humanité dans sa masse. Sans parler du représentant de la Masse entêtée, qui reproche à la Critique critique d'être sans objet et lui laisse entendre, de la façon la plus galante, qu'elle n'a pas encore achevé sa « mue » spirituelle, mais surtout qu'il lui faut d'abord acquérir de solides connaissances, le correspondant sensible lui-même ne constitue pas un terme contraire, et puis ce n'est qu'à titre purement personnel qu'il essaie d'approcher la Critique critique. Ce qu'il veut en réalité, comme on peut s'en rendre compte par la suite de sa lettre, c'est accommoder la piété qu'il porte à M. Arnold Ruge avec celle qu'il a pour M. Bruno Bauer. Cette tentative d'accommodement fait honneur à son bon cur. Elle ne présente nullement un intérêt massif, Le dernier correspondant, enfin, ne faisait plus réellement partie de la Masse, ce n'était qu'un catéchumène de la Critique critique.
La Masse est d'ailleurs un objet indéterminé, qui ne saurait donc ni exercer d'action déterminée ni entrer dans un rapport déterminé. La Masse, en tant qu'objet de la Critique critique, n'a rien de commun avec les masses réelles, qui constituent à leur tour entre elles des contradictions fort massives. C'est elle-même qui s'est « fait » sa Masse, tout comme si le naturaliste, au lieu de parler d'espèces déterminées, s'occupait de l'Espèce.
Aussi, en dehors de cette Masse abstraite, création de son propre cerveau, il faut encore à la Critique critique, pour qu'elle possède un contraire réellement massif, une Masse déterminée qu'on puisse exhiber empiriquement et non pas simplement prétexter. Il faut que cette Masse voie dans la Critique critique son essence en même temps que l'anéantissement de son essence. Il faut qu'elle veuille être Critique critique, non-Masse, sans pouvoir l'être. Cette Masse critique et non critique à la fois, c'est la « coterie berlinoise » dont nous avons parlé plus haut. C'est à une coterie berlinoise que se réduit la Masse de l'humanité s'occupant sérieusement de la Critique critique.
La « coterie berlinoise », cet « objet essentiel » de la Critique critique, dont sa pensée s'occupe sans cesse et qu'elle voit toujours en pensée occupée d'elle, se compose, autant que nous le sachions, de quelques ci-devant Jeunes-Hégéliens, auxquels la Critique critique, à ce qu'elle prétend, inspire en partie l'horror vacui [1], en partie un sentiment de nullité. Nous n'examinerons pas la matérialité des faits, nous fiant aux affirmations de la Critique.
La correspondance est surtout destinée à exposer largement au public ce rapport historique entre la Critique et la « coterie berlinoise », à en dévoiler la signification profonde, à manifester la cruauté nécessaire de la Critique à l'égard de cette «Masse » et à faire accroire enfin que le monde entier se préoccupe anxieusement de cette opposition, en se prononçant tantôt pour, tantôt contre les procédés de la Critique. C'est ainsi que la Critique absolue écrit par exemple, à un correspondant qui prend le parti de la « coterie berlinoise » :
« J'ai si souvent entendu des affirmations de ce genre que j'avais décidé de n'en plus tenir compte. »
Le monde ne soupçonne pas combien de fois elle a eu affaire à des choses critiques de ce genre.
Écoutons maintenant ce qu'un membre de la Masse critique nous dit de la coterie berlinoise :
« S'il est quelqu'un qui admette les Bauer, [il faut toujours admettre la Sainte Famille pêle-mêle [2]] écrivait-il au début de sa réponse, c'est moi. Mais la Literatur-Zeitung ! Il faut être juste ! Ce fut intéressant pour moi d'apprendre ce qu'un de ces radicaux, de ces malins de 1842, pensait de vous... »
Et on nous annonce que ce malheureux a toutes sortes de critiques à faire à la Literatur-Zeitung.
La nouvelle de M. Edgar : « Les trois braves gens [3] », lui a paru grossière et outrée. Il ne s'est pas rendu compte que la censure est moins un combat d'homme à homme, moins un combat contre un ennemi extérieur qu'un combat intérieur. On ne se donne pas la peine de rentrer en soi-même et de substituer à la phrase qui déplaît à la censure la pensée critique délicatement développée, interprétée dans tous les sens. L'article de M. Edgar sur Béraud [4] lui a paru superficiel. Pour sa part, le chroniqueur critique le trouve profond. Il avoue bien lui-même : « Je ne connais pas... le livre de Béraud. » Mais il croit, par contre, que M. Edgar a réussi, etc. ; et l'on sait bien qu'il n'y a que la foi qui sauve. « Somme toute », continue le croyant critique, « il » (l'homme de la coterie berlinoise) « n'est guère content des uvres d'Edgar ». Il trouve également « que Proudhon n'est pas traité avec un sérieux assez approfondi ». Et c'est ici que le chroniqueur accorde à M. Edgar son témoignage :
« Je connais à la vérité (!) Proudhon; je sais que l'étude de M. Edgar en a tiré les points caractéristiques et les a disposés dans un ordre qui les éclaire. »
La seule raison pour laquelle la critique si excellente de Proudhon par M. Edgar ne plaît pas, ne peut être, si nous en croyons le chroniqueur, que celle-ci : M. Edgar n'a pas pris méchamment parti contre la propriété. Et qu'on ne l'oublie pas : l'adversaire trouve insignifiant l'article consacré par M. Edgar à l'Union ouvrière. Le chroniqueur console M. Edgar :
« Naturellement, il n'y est rien donné de personnel, et ces gens en sont réellement revenus au point de vue de Gruppe [5], que d'ailleurs ils n'avaient jamais abandonné. Donner, donner encore, donner toujours, voilà le rôle de la Critique ! »
Comme si la Critique n'avait pas donné des découvertes absolument nouvelles : en linguistique, en histoire, en philosophie, en économie, en sciences juridiques ! Et elle a la modestie de se laisser dire qu'elle ne donne rien de personnel ! Il n'est pas jusqu'à notre correspondant critique qui n'ait donné quelque chose que jusqu'ici la mécanique ignorait, en faisant revenir des gens à un point de vue qu'ils n'avaient jamais abandonné. C'est une maladresse que le rappel de la position de Gruppe. Dans sa brochure, pour le reste pitoyable et indigne d'être citée, Gruppe demandait à M. Bruno quelle critique il avait à formuler au sujet de la logique spéculative. M. Bruno le renvoya aux générations à venir, et... « bien fou qui espère une réponse [6] ».
Pareil à Dieu qui punit le Pharaon incrédule en lui endurcissant le cur et en le considérant comme indigne d'être éclairé, le chroniqueur assure :
« C'est pourquoi ils ne sont nullement dignes de voir ou de reconnaître le contenu de votre Literatur-Zeitung. »
Et, au lieu de conseiller à son ami Edgar de se procurer des idées et des connaissances, il lui donne ce conseil :
« Qu'Edgar se procure un sac de phrases et y puise désormais à l'aveuglette pour ses articles, en vue de trouver un style ayant l'oreille du public. »
Nous trouvons d'abord à l'adresse de la coterie berlinoise bien entendu toute une série d'épithètes telles que :
« une certaine fureur, le discrédit, le vide, le manque d'idées, le pressentiment de la chose qu'ils ne peuvent démêler, le sentiment de leur nullité »;
puis, à l'adresse de la Sainte Famille, des éloges du genre :
« L'aisance de l'exposé qui pénètre le sujet, la maîtrise des catégories, l'intelligence que procure 1 étude, bref la domination sur les objets. Il [l'homme de la coterie berlinoise] prend des facilités avec la chose; vous, vous rendez la chose facile. »
Ou encore :
« Vous pratiquez dans la Literatur-Zeitung la critique pure, qui expose, qui appréhende la chose. »
Voici le bouquet :
« Si je vous ai écrit tout cela avec tant de détails, c'est que je sais que je vous fais plaisir en vous communiquant les opinions de mon ami. Vous voyez par là que la Literatur-Zeitung atteint son but. »
Son but est son opposition à la coterie berlinoise. Maintenant que nous avons entendu la polémique de la coterie berlinoise contre la Critique critique et la remontrance que cette polémique lui attire, on va nous montrer de double façon son aspiration à obtenir la miséricorde de la Critique critique.
Un correspondant écrit :
« Lors d'un séjour que j'ai fait à Berlin au début de cette année, mes amis m'ont dit que vous refouliez et écartiez tout le monde de vous, que vous vous isoliez complètement et que vous évitiez avec soin toute relation, tout commerce. Je ne puis naturellement savoir lequel des deux partis en porte la responsabilité. »
La Critique absolue répond :
« La Critique ne constitue pas un parti, elle ne veut pas avoir de parti en sa faveur, elle est solitaire solitaire en s'abîmant dans son ( !) objet, solitaire en s'y opposant. Elle se détache de tout. »
De même que la Critique critique croit s'élever au-dessus de toutes les contradictions dogmatiques en mettant à la place des contradictions réelles la contradiction imaginaire qui l'oppose au monde, qui oppose le Saint-Esprit à la Masse profane, elle croit s'élever au-dessus des partis en retombant au-dessous du point de vue de parti, en s'opposant elle-même comme parti au reste de l'humanité et en concentrant tout l'intérêt dans la personnalité de M. Bruno et consorts. Que la Critique trône dans la solitude de l'abstraction, que même lorsqu'elle a l'air de s'occuper d'un objet, elle ne sorte pas de sa solitude sans objet pour entrer dans un rapport vraiment social avec un objet réel, parce que son objet n'est que l'objet de son imagination, n'est qu'un objet imaginaire tout notre exposé démontre la vérité de cet aveu critique. Non moins exactement elle définit le caractère de son abstraction comme abstraction absolue en disant qu' « elle se détache de tout », et donc que ce détachement du néant par rapport à tout, à toute pensée, intuition, etc., est l'ineptie absolue. L'isolement, d'ailleurs, auquel la Critique aboutit en se détachant, en s'abstrayant de tout, est tout aussi peu affranchi de l'objet dont elle s'abstrait qu'Origène [7] le fut du membre viril qu'il détacha de sa personne.
Un autre correspondant commence par nous parler de la « pusillanimité » d'un personnage de la « coterie berlinoise », qu' « il a vu et à qui il a parlé », et qui se montre actuellement « découragé », « abattu », « désormais incapable d'ouvrir la bouche », alors qu'autrefois, il « ne manquait jamais de tenir des propos fort insolents ». Ce membre de la « coterie berlinoise » raconte à notre correspondant, qui fait rapport à son tour à la Critique :
« qu'il ne peut pas concevoir que des gens comme vous deux, par ailleurs dévoués au principe d'humanité, puissent se montrer si péremptoires, si rebutants, voire si arrogants». Il ne sait pas « pourquoi certains ont l'air de vouloir, de propos délibéré, provoquer une scission. Nous nous plaçons pourtant tous au même point de vue, nous sommes tous dévoués à cet extrême qu'est la Critique, nous sommes tous capables sinon de produire une idée extrême, du moins de l'appréhender et de l'appliquer ». Il ne « trouve, dans cette scission, d'autre principe directeur que l'égoïsme et l'orgueil ».
Et notre correspondant plaide l'indulgence :
« N'y a-t-il pas au moins quelques-uns de nos amis qui aient compris la Critique, ou peut-être la bonne volonté de la Critique... ut desint vires, tamen est laudanda voluntas [8]. »
La Critique répond en établissant entre la coterie berlinoise et elle-même les antithèses suivantes :
« Il y a différents points de vue de la Critique. » Ceux-là « croyaient avoir la Critique dans la poche »; elle, elle « connaît et utilise réellement la puissance de la Critique », c'est-à-dire qu'elle ne l'a pas dans sa poche. Pour la « coterie berlinoise », la Critique est pure forme; pour la Critique critique, c'est au contraire ce qu'il « y a de plus riche en contenu, ou plutôt la seule chose qui ait du contenu ». Tout comme la pensée absolue, la Critique critique se considère comme étant toute réalité. Aussi n'aperçoit-elle nul contenu en dehors d'elle; aussi n'est-elle pas la Critique d'objets réels situés en dehors du sujet critique; au contraire c'est elle qui fait l'objet; elle est le sujet-objet absolu. Poursuivons ! « Le premier type de critique fait fi de tout, de l'étude des choses à coups de formules, tandis que le second, à l'aide de formules, se détache de tout. » La première « fait l'entendue sans rien connaître » et l'autre « apprend». La seconde est, il est vrai, peu entendue et apprend par-ci par-là, mais seulement en apparence, mais seulement pour pouvoir utiliser comme sagesse de son propre cru ce qu'elle vient d'apprendre superficiellement, en faire un slogan qu'elle brandit contre la Masse qui le lui a enseigné, et le résoudre en ineptie critico-critique.
« La première attache beaucoup d'importance à des mots comme « extrême », « progresser », « ne pas aller assez loin »; elle en fait les catégories suprêmes de son adoration; l'autre approfondit les points de vue, sans leur appliquer les normes de ces catégories abstraites. »
Lorsque la critique n° 2 s'écrie qu'il n'est plus question de politique et que c'en est fait de la philosophie; lorsqu'elle fait bon marché des systèmes et des développements sociaux à l'aide de mots comme « fantastique », « utopique », etc., que fait-elle d'autre que reprendre, avec correction critique, les termes de « progression », de « démarche qui ne va pas assez loin » ? Et ses « normes », telles que « l'histoire », « la critique », « la récapitulation des objets », « l'ancien et le nouveau », « la Critique et la Masse », « l'approfondissement des points de vue », en un mot toutes ses formules, ne seraient-ce point, par hasard, des normes catégoriques, et abstraitement catégoriques ?
« La première est théologique, méchante, envieuse, mesquine, prétentieuse; l'autre est le contraire de tout cela. »
Après s'être ainsi décerné d'un seul trait toute une kyrielle d'éloges et s'être attribué tout ce qui manque à la coterie berlinoise, de même que Dieu est tout ce que l'homme n'est pas, la Critique se délivre le certificat suivant :
« Elle a atteint une clarté, une curiosité, un calme où elle est inattaquable et invincible. »
C'est pourquoi, à l'égard de son contraire, la coterie berlinoise, elle peut « tout au plus assumer la fonction du rire olympien ». Cette dérision et avec sa profondeur habituelle elle nous expose longuement ce que cette dérision est et ce qu'elle n'est pas « cette dérision n'est pas de l'orgueil ». À Dieu ne plaise ! C'est la négation de la négation. « Ce n'est que le processus auquel le critique est forcé de recourir, avec aise et tranquillité d'âme, contre un point de vue inférieur qui s'imagine être son égal. » Quelle présomption ! Lorsqu'il rit, le critique recourt donc à un processus ! Et dans la «tranquillité de son âme », il recourt à ce processus du rire non pas contre des personnes, mais contre un point de vue ! Le rire lui-même est une catégorie à laquelle il recourt et même est forcé de recourir !
La critique extra-terrestre n'est pas une activité essentielle du sujet humain réel, donc vivant et souffrant dans la société présente, prenant part à ses peines et à ses joies. L'individu réel n'est qu'un accident, un terrestre réceptacle de la Critique critique, qui s'y révèle substance éternelle. Ce n'est pas la critique de l'individu humain, mais l'individu non humain de la Critique, qui est sujet. Ce n'est pas la critique qui est une manifestation de l'homme, c'est l'homme qui est une aliénation de la Critique; et voilà pourquoi le critique vit entièrement en dehors de la société.
« Le critique peut il vivre dans la société qu'il critique ? » Au contraire : ne faut-il pas qu'il vive dans cette société ? Ne faut-il pas qu'il soit lui-même une manifestation de la vie de cette société ? Pourquoi le critique vend-il ses productions intellectuelles, puisque, de la sorte, il fait sienne la pire des lois de la société actuelle ? « Le critique ne doit même pas oser se commettre personnellement avec la société. »
C'est pour cette raison qu'il se constitue une Sainte Famille, de même que le dieu solitaire aspire à supprimer, par la Sainte Famille, son isolement de la société, l'ennui résultant de cette séparation. Si le critique veut se débarrasser de la mauvaise société, qu'il se débarrasse donc d'abord de sa compagnie à lui.
« C'est ainsi que le critique est sevré de toutes les joies de la société, mais il en ignore également les souffrances. Il ne connaît ni amitié [à l'exception de ses amis critiques] ni amour [à l'exception de l'amour de soi]; mais, en revanche, la calomnie n'a aucune prise sur lui; rien ne peut l'offenser; aucune haine ne le touche, ni aucune envie; le dépit et le chagrin sont pour lui émotions inconnues. »
Bref, le critique est affranchi de toutes les passions humaines; il est une personne divine et peut s'appliquer la chanson de la religieuse :
« Je ne songe à aucun amour,
Je ne songe à aucun homme,
Je songe à Dieu le Père,
Qui peut me conserver [9]. »
Il n'est pas donné à la Critique d'écrire un seul passage sans se contredire. Aussi nous dit-elle finalement :
« Les Philistins qui lapident le critique [par analogie biblique, il faut qu'il soit lapidé], qui le méconnaissent et lui supposent des motifs impurs [supposer des motifs impurs à la pure Critique] pour faire de lui leur égal [la voilà bien la présomption égalitaire dénoncée ci-dessus] le critique ne se rit pas d'eux car ils n'en valent pas la peine, mais il les perce à jour et les renvoie tranquillement à leur insignifiante signification. »
Plus haut, le critique s'était vu forcé d'employer le processus de la dérision contre le « point de vue inférieur qui s'imaginait être son égal ». La Critique critique ne sait donc plus au juste comment s'y prendre contre la «Masse » athée; et ce fait semblerait presque indiquer une irritation intérieure, une bile pour laquelle les « émotions » ne seraient pas des « inconnues»...
Il ne faut cependant pas s'y tromper. Après avoir lutté, jusqu'ici, comme un Hercule pour se détacher de la « Masse profane » non critique et du « tout », la Critique a fini par se faire non sans bonheur une existence solitaire, divine, se suffisant à elle-même, absolue. Si dans la première expression de cette « phase nouvelle » le vieux monde des émotions coupables semble conserver encore quelque pouvoir sur elle, nous allons la voir maintenant, sous une « forme esthétique », trouver le calme et la transfiguration par l'art et accomplir sa pénitence, afin de pouvoir enfin, nouveau Christ triomphant, célébrer le Jugement Dernier critique et, après sa victoire sur le dragon, monter tranquillement au ciel.
Notes
[1] Horreur du vide.
[2] Marx a écrit pêle-mêle dans le sens de « en bloc ».
[3] « Die Drei Biedermänner ».
[4] Commissaire de police français, auteur d'un ouvrage sur la prostitution.
[5] GRUPPE Otto Friedrich (1804-1876) : publiciste et philosophe idéaliste, anti-hégélien; publia en 1842 un pamphlet contre Bruno Bauer.
[6] Henri HEINE : Die Nordsee. 2e cycle « Fragen ».
[7] ORIGÈNE d'Alexandrie (185-254 environ) : théologien chrétien, l'un des « Pères de l'Église ».
[8] Même si les forces manquent, on peut louer l'intention.
[9] Vers tirés d'une chanson populaire allemande.